.
Affiche sur le Site du film, cliquer ICI.
Synopsis :
- "C’est l’été, Zak et Seth se retrouvent seuls et sans argent dans leur maison de campagne. Les deux frères s’attendent encore une fois à passer des vacances de merde. Mais cette année-là, ils rencontrent Dany un autre ado du coin.
Ensemble, à un âge où tout est possible, ils vont commencer la grande et périlleuse aventure de leur vie."
Bouli Lamers :
- "En mettant tout dans la nature, j'avais la structure d'un conte. J'avais le loup, la sorcière, la fée, les chasseurs… C'était parfait pour parler de la naissance d'une amitié qui pallie une absence familiale. Et je me suis rendu compte que je me faisais ultra plaisir car j'adore tourner dans la campagne, être dans la rivière, avoir une logistique plus rude.
Bouli Lamers :
- "En mettant tout dans la nature, j'avais la structure d'un conte. J'avais le loup, la sorcière, la fée, les chasseurs… C'était parfait pour parler de la naissance d'une amitié qui pallie une absence familiale. Et je me suis rendu compte que je me faisais ultra plaisir car j'adore tourner dans la campagne, être dans la rivière, avoir une logistique plus rude.
(…)
En fait, j'ai déjà pris une partie de ma pension entre 18 et 30 ans. Maintenant, je travaille. J'ai besoin que tout ça sorte et ça demande beaucoup d'implications professionnellement, humainement, au niveau de la santé, de la famille. Il arrivera un moment où j'aurai besoin de me remettre dans la rivière et de me laisser aller. Car la vie, c'est ça ! Dans mes films, j'exprime quelque chose de ma vie. Ensuite il faut vivre, et encore vivre. Le ciné n'est pas une fin en soi. C'est un outil d'expression. Je ne vais pas vivre pour un outil ! Je vis car j'aime vivre. Donc, à un moment donné, je me remettrai dans une barque…"
(Interview par Fabienne Bradfer, Le Soir, 12 octobre 2011).
Louis Danvers :
- "Résolument fictionnel, le cinéma de Lanners a cette vertu quasi documentaire, que le cinéaste reconnaît en affirmant aimer "puiser dans une réalité qui sera toujours plus forte que ce qu'on a pu imaginer".
Louis Danvers :
- "Résolument fictionnel, le cinéma de Lanners a cette vertu quasi documentaire, que le cinéaste reconnaît en affirmant aimer "puiser dans une réalité qui sera toujours plus forte que ce qu'on a pu imaginer".
(levif.be, 16 novembre 2010).
7sur7 :
- "Bouli Lanners nous offre dans "Les Géants" une Belgique revue et corrigée: l'étendue des paysages ardennais impressionne et émeut. Les routes infinies qui s'ouvrent devant nos yeux donnent l'impression que tout est possible, le meilleur comme le pire.
Le véritable coup de coeur du film, c'est ce trio d'enfants qui fonctionne merveilleusement bien. Ils ne connaissaient pas et on découvre que leur cheminement à l'écran est proche de leur histoire dans la vie: non pas qu'ils aient vécu des tas de galères sur le tournage de Bouli... On parle ici de l'amitié qui se crée, des affinités qu'on se découvre, de l'intimité qui rapproche, de la force qui semble les animer quand ils sont ensemble."
7sur7 :
- "Bouli Lanners nous offre dans "Les Géants" une Belgique revue et corrigée: l'étendue des paysages ardennais impressionne et émeut. Les routes infinies qui s'ouvrent devant nos yeux donnent l'impression que tout est possible, le meilleur comme le pire.
Le véritable coup de coeur du film, c'est ce trio d'enfants qui fonctionne merveilleusement bien. Ils ne connaissaient pas et on découvre que leur cheminement à l'écran est proche de leur histoire dans la vie: non pas qu'ils aient vécu des tas de galères sur le tournage de Bouli... On parle ici de l'amitié qui se crée, des affinités qu'on se découvre, de l'intimité qui rapproche, de la force qui semble les animer quand ils sont ensemble."
(12 octobre 2011).
Bouli Lanners au Festival International du Film Francophone à Namur. Photo de Christian Delwiche (1).
Ecrans Géants :
en Belgique depuis le 12 octobre et
en France à partir du 2 novembre
Fernand Denis :
- "Si les Dardenne ont inscrit Seraing sur le planisphère du cinéma et Jaco van Dormael le quartier du logis à Boitsfort, Bouli c’est toute la Wallonie (2). Une Wallonie en scope, parfois belle à tomber, comme les Wallons ne l’ont jamais regardée. "L’image est mon premier moyen d’expression. Mais je ne suis pas un théoricien, un intellectuel. Mon langage, c’est l’image, depuis toujours. Regarder est terriblement important dans mes films. Je veux qu’il y ait à regarder, que l’image raconte. Il y a une grande part d’instinct et je ne veux pas essayer de savoir. Je sens que c’est cela. Je ne sais pas expliquer mon travail. Les personnages dans ce cadre-là, ça me dit quelque chose. Je vois leur univers, ce qui s’est passé dans leur vie. Et si je le vois, j’espère que le spectateur le verra aussi. Ou autre chose, mais qui va dans le même sens."
(La Libre Belgique, 24 septembre 2011).
Françoise-Marie Santucci :
- "En amateur de grands espaces canadiens ou américains, Bouli déteste ce qu’il appelle « les films d’appartement » mais prend un plaisir immense (autant pour le défi technique qu’intellectuel) à « tourner sur des confettis », avec des angles si serrés qu’on arrive à croire au fleuve sauvage quand, un mètre hors-cadre, se dresse un camping. Bouli fait la liste des protagonistes des Géants : « Il y a ces trois enfants sans parents qui vont dans les bois ; un méchant ; un très méchant ; des voisins ; un nain de jardin ; une fée. » La fée, Marthe Keller, est le seul visage connu d’un casting dont les héros, Zak, Seth et Danny, vivent le temps d’un été leur Into The Wild à eux."
Ecrans Géants :
en Belgique depuis le 12 octobre et
en France à partir du 2 novembre
Fernand Denis :
- "Si les Dardenne ont inscrit Seraing sur le planisphère du cinéma et Jaco van Dormael le quartier du logis à Boitsfort, Bouli c’est toute la Wallonie (2). Une Wallonie en scope, parfois belle à tomber, comme les Wallons ne l’ont jamais regardée. "L’image est mon premier moyen d’expression. Mais je ne suis pas un théoricien, un intellectuel. Mon langage, c’est l’image, depuis toujours. Regarder est terriblement important dans mes films. Je veux qu’il y ait à regarder, que l’image raconte. Il y a une grande part d’instinct et je ne veux pas essayer de savoir. Je sens que c’est cela. Je ne sais pas expliquer mon travail. Les personnages dans ce cadre-là, ça me dit quelque chose. Je vois leur univers, ce qui s’est passé dans leur vie. Et si je le vois, j’espère que le spectateur le verra aussi. Ou autre chose, mais qui va dans le même sens."
(La Libre Belgique, 24 septembre 2011).
Françoise-Marie Santucci :
- "En amateur de grands espaces canadiens ou américains, Bouli déteste ce qu’il appelle « les films d’appartement » mais prend un plaisir immense (autant pour le défi technique qu’intellectuel) à « tourner sur des confettis », avec des angles si serrés qu’on arrive à croire au fleuve sauvage quand, un mètre hors-cadre, se dresse un camping. Bouli fait la liste des protagonistes des Géants : « Il y a ces trois enfants sans parents qui vont dans les bois ; un méchant ; un très méchant ; des voisins ; un nain de jardin ; une fée. » La fée, Marthe Keller, est le seul visage connu d’un casting dont les héros, Zak, Seth et Danny, vivent le temps d’un été leur Into The Wild à eux."
(Libération, 7 mai 2011).
Fabienne Bradfer :
- "Parler de ce moment incroyable où l'on sort de l'enfance, où l'on bascule dans le monde des géants. Et ce sans allonger les clichés. Raconter l'errance de trois enfants sauvages tout en traduisant subtilement les violences, les précarités et les manques de la vie. Bouli Lanners relève joliment ces défis en filmant avec une infinie tendresse trois gamins un peu largués et qui vont se la jouer mi-Far West mi-jungle dans la nature wallonne et découvrir que l'amitié, c'est vraiment plus fort que tout. De Cannes au Festival de Namur (3), les jurys ont craqué pour ce conte moderne sur l'errance adolescente qui parle d'absence parentale et de manque d'affection. Sans doute ont-ils été conquis par le cinéma habité, généreux, à la fois drôle et dur, réaliste et pictural qu'est celui de Bouli Lanners. Sans doute ont-ils aussi succombé aux trois bouilles d'atmosphère - Zacharie Chasseriaud, Martin Nissen et Paul Bartel - qui donnent au film sa chair, sa drôlerie, son émotion, sa justesse et ce petit plus de vérité magique."
Fabienne Bradfer :
- "Parler de ce moment incroyable où l'on sort de l'enfance, où l'on bascule dans le monde des géants. Et ce sans allonger les clichés. Raconter l'errance de trois enfants sauvages tout en traduisant subtilement les violences, les précarités et les manques de la vie. Bouli Lanners relève joliment ces défis en filmant avec une infinie tendresse trois gamins un peu largués et qui vont se la jouer mi-Far West mi-jungle dans la nature wallonne et découvrir que l'amitié, c'est vraiment plus fort que tout. De Cannes au Festival de Namur (3), les jurys ont craqué pour ce conte moderne sur l'errance adolescente qui parle d'absence parentale et de manque d'affection. Sans doute ont-ils été conquis par le cinéma habité, généreux, à la fois drôle et dur, réaliste et pictural qu'est celui de Bouli Lanners. Sans doute ont-ils aussi succombé aux trois bouilles d'atmosphère - Zacharie Chasseriaud, Martin Nissen et Paul Bartel - qui donnent au film sa chair, sa drôlerie, son émotion, sa justesse et ce petit plus de vérité magique."
(Le Soir, 12 octobre 2011).
Les trois géants : Zacharie Chasseriaud, Martin Nissen et Paul Bartel (DR).
Marion Pasquier :
- "Les thèmes des Géants ne frappent pas par leur originalité : sortie de l'enfance, adolescence comme âge où tout est possible, confrontation de l'innocence au monde abject des adultes, parcours initiatique... La forme à laquelle recourt Bouli Lanners permet cependant d'éviter le cliché. Nous sommes ici dans le conte : enfants sans parents, nature, cabanes abandonnées, forêt, rivière... véhiculent un sentiment d'intemporalité. L'atypicité des adultes rencontrés (un vendeur de haschisch complètement fou, une brute épaisse, la mère mutique d'une handicapée mentale...) permet aussi de faire d'eux autre chose que de simples obstacles à la liberté adolescente. Le monde des Géants est glauque mais l'humour met judicieusement tout tragique à distance. La tonalité varie en fonction des péripéties, les scènes sont tantôt drôles, violentes, émouvantes..."
(Critikat, mai 2011).
Barbara Théate :
- "Bouli Lanners n’a pas voulu signer une chronique sociale, à la manière des frères Dardenne. « Les Géants », c’est un peu l’histoire des Trois Petits Cochons, chassés de maison en maison. Le méchant frère est le loup, la femme du dealer la sorcière, et la dame au grand cœur qui les héberge leur bonne fée". C’est aussi un peu son histoire à lui. "J’ai fait une grosse crise d’adolescence et j’ai fugué à la campagne. J’ai vécu une longue période de rébellion. Il faut dire que c’est un âge où tout semble possible : la disparition du monde dans lequel on vit, la construction d’un futur idéal… On a l’impression que l’horizon est totalement dégagé, qu’on peut prendre sans danger n’importe quelle direction. La réalité nous assomme quand on devient adulte. Voilà pourquoi, à 46 ans, je fais tout pour rester un adolescent dans la tête !"
Barbara Théate :
- "Bouli Lanners n’a pas voulu signer une chronique sociale, à la manière des frères Dardenne. « Les Géants », c’est un peu l’histoire des Trois Petits Cochons, chassés de maison en maison. Le méchant frère est le loup, la femme du dealer la sorcière, et la dame au grand cœur qui les héberge leur bonne fée". C’est aussi un peu son histoire à lui. "J’ai fait une grosse crise d’adolescence et j’ai fugué à la campagne. J’ai vécu une longue période de rébellion. Il faut dire que c’est un âge où tout semble possible : la disparition du monde dans lequel on vit, la construction d’un futur idéal… On a l’impression que l’horizon est totalement dégagé, qu’on peut prendre sans danger n’importe quelle direction. La réalité nous assomme quand on devient adulte. Voilà pourquoi, à 46 ans, je fais tout pour rester un adolescent dans la tête !"
(JDD, 22 mai 2011).
Gaëlle Bouché :
- "Gauches et innocents, les trois garçons sont loin d’être des foudres de guerre. Les solutions qu’ils imaginent pour sortir de la précarité sont certes originales, mais peu concluantes. Au contraire elles obligent nos trois héros à fuir en pleine campagne dans l’espoir de trouver un nouveau refuge. Et c’est ici que réside toute la beauté du film. Loin de la tragédie sociale, “Les géants” porte un regard tendre sur la maladresse des adolescents. La mise en scène, presque paternelle, souligne affectueusement leur moindre bourde et les anecdotes qui ponctuent leurs aventures sont aussi touchantes que drôles. Un humour raffiné, qui sait jouer du moindre trait de caractère."
Gaëlle Bouché :
- "Gauches et innocents, les trois garçons sont loin d’être des foudres de guerre. Les solutions qu’ils imaginent pour sortir de la précarité sont certes originales, mais peu concluantes. Au contraire elles obligent nos trois héros à fuir en pleine campagne dans l’espoir de trouver un nouveau refuge. Et c’est ici que réside toute la beauté du film. Loin de la tragédie sociale, “Les géants” porte un regard tendre sur la maladresse des adolescents. La mise en scène, presque paternelle, souligne affectueusement leur moindre bourde et les anecdotes qui ponctuent leurs aventures sont aussi touchantes que drôles. Un humour raffiné, qui sait jouer du moindre trait de caractère."
(Abusdecine, annonçant la sortie en France le 2 novembre 2011).
Ils quittent leur enfance mais quelle enfance ? (DR).
Anne Feuillère :
- "Dans Les Géants, les figures blanches et noires ne s’affrontent pas vraiment. Elles vivent, chacune de leurs côtés, voisinent et s’ignorent. Ce sont les enfants qui vont et viennent entre elles. Et l’innocence, à s’y frotter, vacille d’être trop légère, avant de tomber à l’eau, comme la cabane, dernier refuge qui s’écroulera dans un marais puant. S’ils sont bien victimes, à mains égards, du monde des adultes et de sa violence, Zach, Seth et Danny ne sont pas pour autant ni tout à fait inconscients ni tout à fait innocents. L’enjeu des "Géants" est ailleurs. Dans le mouvement, le trajet des garçons, qu’ils sortent de la forêt profonde, qu’ils sortent de l’enfance. Et cela passe par le choix, qui implique justement la responsabilité, la conscience, la liberté. À ce prix."
Anne Feuillère :
- "Dans Les Géants, les figures blanches et noires ne s’affrontent pas vraiment. Elles vivent, chacune de leurs côtés, voisinent et s’ignorent. Ce sont les enfants qui vont et viennent entre elles. Et l’innocence, à s’y frotter, vacille d’être trop légère, avant de tomber à l’eau, comme la cabane, dernier refuge qui s’écroulera dans un marais puant. S’ils sont bien victimes, à mains égards, du monde des adultes et de sa violence, Zach, Seth et Danny ne sont pas pour autant ni tout à fait inconscients ni tout à fait innocents. L’enjeu des "Géants" est ailleurs. Dans le mouvement, le trajet des garçons, qu’ils sortent de la forêt profonde, qu’ils sortent de l’enfance. Et cela passe par le choix, qui implique justement la responsabilité, la conscience, la liberté. À ce prix."
(cinergie.be, 8 octobre 2011).
NOTES :
(1) Photo publiée sur le site Bia Bouquet de Christian Delwiche et reprise ici avec son autorisation. Retrouver aussi la page 40 de ce blog.
(2) Présentation de son film précédent, Eldorado, sur le premier blog Mo(t)saïques, cliquer : ICI.
(3) Les Géants se sont vu attribuer le Bayard d’Or du Meilleur Comédien pour Zacharie Chasseriaud, Martin Nissen et Paul Bartel ainsi que le Bayard d’Or de la Meilleure Photographie pour Jean-Paul De Zaeytijd au 26ème Festival du Film Francophone de Namur.
NOTES :
(1) Photo publiée sur le site Bia Bouquet de Christian Delwiche et reprise ici avec son autorisation. Retrouver aussi la page 40 de ce blog.
(2) Présentation de son film précédent, Eldorado, sur le premier blog Mo(t)saïques, cliquer : ICI.
(3) Les Géants se sont vu attribuer le Bayard d’Or du Meilleur Comédien pour Zacharie Chasseriaud, Martin Nissen et Paul Bartel ainsi que le Bayard d’Or de la Meilleure Photographie pour Jean-Paul De Zaeytijd au 26ème Festival du Film Francophone de Namur.
Le film avait déjà reçu le premier prix du Festival de Dieppe ainsi que les prix CICAE et SACD à la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes 2011.
Bande annonce :
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une fois encore je me dis je devrais, une fois encore ce ne sera pas - ai perdu le réflexe cinéma
RépondreSupprimer@ brigetoun
RépondreSupprimersix arts précèdent le cinéma, un par jour de la semaine, et le dimanche, vous votez : manque de temps pour prendre le chemin des salles obscures...
sans aucun doute j'irai !! merci JEA !!
RépondreSupprimer@ Lautreje
RépondreSupprimerReste à savoir si 2 prix à Cannes (Quinzaine des réalisateurs) assureront au film une diffusion autre que marginale...
Ah ! Il va falloir guetter ça.
RépondreSupprimer@ Danièle Duteil
RépondreSupprimerVous découvririez des paysages de par le Condroz illustré aussi par quelques pages de ce blog...
Sans doute mieux que les deux dernières copies éhontées du film d'Yves Robert, "La guerre des boutons".
RépondreSupprimerTant que ces "géants" ne seront pas un remake du dernier film dans lequel a joué James Dean, on sera tranquille !
@ Dominique Hasselmann
RépondreSupprimerLe cinéma belge d'expression francophone - original quand même - bouillonne tellement d'envies de créer qu'il ne risque pas de végéter dans des remakes...
Ah, Bouli, un des regards les plus lucides du cinéma actuel.
RépondreSupprimer@ noel
RépondreSupprimerà mettre en parallèle avec ton commentaire, son portrait photo par C. Delwiche...
J'Aime les salles obscures;
RépondreSupprimerce film où 3 enfants se rencontrent, deviennent une seule force à eux trois, m'attire.
Ah, Sortir de l'Enfance !!!
Un petit air de Into the wild en Belgique... Je suis curieux !
RépondreSupprimerEt je te remercie pour la citation d'H. Arendt !
@ Christyn
RépondreSupprimerA eux trois, ils forment un triangle des Bermudes : ils ont été abandonnés à leur enfance, la font disparaître et grâce à leur amitié, remuent ciel et terre pour que leurs vies ne restent pas à l'ombre
@ Otli
RépondreSupprimerA propos de Belgique et d'H. Arendt, dans "Eichman à Jérusalem, XIV, Preuves et témoins", elle remarque à juste titre qu'au procès furent entendus des témoins de tous les pays où les juifs furent persécutés par les nazis et leurs collabos. A deux seules exceptions : la Bulgarie et la Belgique.
Je suis dépassée par le nombre de films à voir.... Mais bientôt les vacances! Alors peut-être?????
RépondreSupprimerMerci pour cette indication!
Belle soirée.
@ Chrys
RépondreSupprimerA suivre votre blog, quand on vous imagine au cinéma, c'est de plus avec un livre sur les genoux...
Livres de géants sous votre bannière : on y poserait volontiers les doigts pour y sentir le grain du temps.
RépondreSupprimer@ Tania
RépondreSupprimerLinn Ullmann :
- "Les livres sont ma maison..."
Merci pour le nom du champignon, dès demain j'en dirai le nom à Jacqueline (nous travaillons ensemble en classe).
RépondreSupprimerBelle soirée!
@ Chrys
RépondreSupprimerSi vous le voulez bien, cette mise en garde. Le bolet bai présente une méchante tendance à concentrer ce qui traîne dans l'atmosphère et nuit à la santé. Il est préférable de ne pas le cueillir le long des routes, près des centres industriels, et à proximité d'autres sites pollués allègrement...
La référence à Into the wild est tentante (la beauté de la nature). je crois comprendre que les enfants s'en tirent mieux que le héros du film de Sean Penn.
RépondreSupprimerVu dernièrement "La fée" humour déjanté à la Tati, duo d'acteurs excellent. Y'a de la Belgique aussi dans ce film et j'aime l'humour belge.