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(Ph. JEA/DR).Pour le film de Marcel Carné, "Les visiteurs du soir" (1942), Jacques Prévert écrivit cette chanson des sables mouvants mise en musique par Maurice Thiriet.
Sables mouvants
Démons et merveilles
Vents et marées
Au loin déjà la mer s'est retirée
Et toi
Comme une algue doucement caressée par le vent
Dans les sables du lit tu remues en rêvant
Démons et merveilles
Vents et marées
Au loin déjà la mer s'est retirée
Mais dans tes yeux entrouverts
Deux petites vagues sont restées
Démons et merveilles
Vents et marées
Deux petites vagues pour me noyer.
(Ph. JEA/DR).
A l'est, deux fleuves : la Sée et la Sélune, ne suffisent pas à empêcher l'invasion de marchands du temple...
(Ph. JEA/DR).
Antonio Tabucchi : "La nostalgie : ce vide qu'il nous faut absolument remplir, même avec du négatif."
(Ph. JEA/DR).
Prévert : "Au loin déjà la mer s'est retirée..."
(Ph. JEA/DR).
André Rollin : "La mer est un drôle de miroir et la nuit, une confidente instable."
(Ph. JEA/DR).
Me zo ganet e kreiz ar mor (je suis né au milieu de la mer).
(Ph. JEA/DR).
Amos Oz : "La souffrance est une île de certitude dans un océan d'incertitudes."
(Ph. JEA/DR).
Françoise d'Eaubonne : "Est-ce que je l'aime cet univers où je n'ai pas choisi de surgir ni de dégringoler ?"
(Ph. JEA/DR).
Quand un oiseau de Prévert survole une encre de Victor Hugo.
(Ph. JEA/DR).
Crépuscule des cieux et des lieux.
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« L’homme écrit sur le sable
RépondreSupprimerMoi ça me convient bien ainsi
L’effacement ne me contrarie pas,
A marée descendante je recommence »
Jean Dubuffet.
Vos photos, oh, à ne jamais s'en lasser. Admiration.
Pensées amicales JEA.
Sur une photo, il nous semblerait voir un désert!!!!
RépondreSupprimerUne façon très personnelle et originale de traiter l'image.
Cela me plaît et m'intrigue.
Bonne fin de semaine.
Cette série de photo est sublime.
RépondreSupprimersuperbe, mon ami, tout simplement superbe
RépondreSupprimerLa photo des rides de courant me plait beaucoup (déformation professionnelle?)
RépondreSupprimerEntre les plages d'un disque, des silences. Entre les plages de JEA, la musique des mots.
RépondreSupprimerVos photos me font penser à Spilliaert et à Taf Wallet qui ont peint encore et encore ces doux entremêlements de la terre, de l'eau et du ciel.
Ces photos me rappellent mes émerveillements d'enfant devant les motifs infiniment inédits que je découvrais inscrits dans le sable quand la marée avait tiré la vague au loin.
RépondreSupprimerBelle ambiance, et texte-caresse aux saveurs de sel !
RépondreSupprimerTendez les mains, je vous lance une bouée...
un vrai festival de mots et d'images et entre les deux mon coeur balance mais je vais la jouer un peu perso et décider de tout prendre
RépondreSupprimerPhotos par vagues et embruns dans les yeux : de Prévert au pré-salé, logique de l'oeil maritime.
RépondreSupprimerL'artiste à l'oeuvre.
RépondreSupprimerRaconte moi la mer
RépondreSupprimerDis-moi le bruit de l'eau...
Jean Ferrat
J'adore, vous vous en doutez:le vu, l'imaginé et l'élégance du sujet.
RépondreSupprimerMagnifique, tout simplement...
RépondreSupprimerLes oeuvres vives, en teintes appariées, hurlent le bleu de leur lointain engloutissement.
RépondreSupprimerLes oeuvres vives, en teintes appariées, hurlent le bleu de leur lointain engloutissement.
RépondreSupprimerBelles photos de sables émouvants !
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