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(Ph. JEA/DR).
Claude Nougaro :
- "Et moi l'oiseau forçat casseur d'amère croûte
Vers mon ciel du dedans j'ai replongé ma route
Le long tunnel grondant sur le dos de ses murs
Aspiré tout au bout par un goulot d'azur
Là-bas brillent la paix, la rencontre des pôles
Et l'épée du printemps qui sacre notre épaule
Gazouillez les pinsons à soulever le jour
Et nous autres grinçons, pont-levis de l'amour..."
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J'aime savoir que le 1er Mai n'est pas que le muguet ( en sachant que ses adorables clochettes sont du vrai poison ) ...Il n'est pas bon de battre le pavé la fleur au dent ! :)
RépondreSupprimerPar contre soulever les voix qui crient leurs indignation ça je veux bien les transporter ici ou ailleurs ...:)
Douce fin de journée ...
Ps: Suis de retour pour une petite semaine , je repars samedi pour une aventure marionnettes avec les enfants de l'hôpital :)
@ Marie
RépondreSupprimerGrâce à vous, nous lisons comme un livre de bord de ces enfants dans le blanc. S'ils aiment les bisous, même d'inconnu(e)s, même de radotants parfois confondus avec des rats des champs, alors en voici pour eux quelques champs en fleurs...
Ils sont vraiment beaux ces vers de Nougaro. Je n'y avais jamais prêté réellement attention...
RépondreSupprimer@ Euterpe
RépondreSupprimerles lumières artificielles des médias lui tournant le dos
plus les rancunes tenaces des anti-mai 68
et le "Paris mai" de Nougaro s'est retrouvé en rouge et dans la marge...
cette promesse de mai, aucun brin de muguet ne saurait nous faire oublié dans quel puits elle est tombée !
RépondreSupprimer@ Miss K.
RépondreSupprimerSans évoquer pour autant un "puits de sciences" (oufla), du moins après mai 68, n'aurai-je plus jamais enseigné comme auparavant...